Banaliser ses réussites, se dévaloriser, sur-préparer ses projets, s’auto-saboter : si vous vous reconnaissez dans au moins un de ces comportements, vous êtes probablement victime du syndrome de l’imposteur. Comment vous en débarrasser ?

C’est le chiffre qui ressort d’une étude menée par la DARES en 2019. On considère un recrutement comme « raté » lorsqu’un·e candidat·e quitte l’entreprise dans les 12 mois qui suivent son arrivée. Au-delà de la déception de voir la période d’essai se solder par un « au revoir », quels en sont les coûts et les conséquences ? Comment optimiser votre processus de recrutement ?

Cette semaine, nous vous présentons un ​Eotips spécial #TruNormand. Comment bien réussir un recrutement ?

Tout professionnel du recrutement concèdera que refuser une candidature n’est pas toujours aisé. La plupart du temps, il s’agit de trouver le juste équilibre entre transparence et délicatesse, là où d’autres considèrent qu’une non-réponse en est une ou se contentent d’un simple mail dépersonnalisé. Pourtant, cette étape du parcours candidat constitue une pierre angulaire de la marque employeur. Comment alors conserver vos exigences de recrutement tout en demeurant attractif auprès des candidat·e·s, quand bien même ils n’auraient pas été retenu·e·s pour le poste ?

Le recrutement tel que nous le connaissions est en plein bouleversement. Au gré des mutations venant de la crise sanitaire, du télétravail ou encore des préoccupations environnementales, les attentes des candidat·e·s vis-à-vis des entreprises ont drastiquement changées et les recruteur·se·s n'ont plus d'autre choix que de s'adapter.

Il existe de multiples raisons pour lesquelles une entreprise peut faire appel à un·e recruteur·se. Que ce soit pour faire face à un pic de recrutement, à un besoin récurrent ou très spécifique, externaliser le processus de recrutement est souvent la solution qui s’impose. L’intervention du prestataire permet de décharger les services RH d’une partie de leurs tâches, tout en optimisant les process pour trouver les meilleurs profils le plus vite possible.

Bien que personne n’ait apparemment pu le prévoir, l’année 2023 sera bel et bien celle des grands défis climatiques. Dans une étude réalisée en 2021 par le CSA, à offres égales, 78% des salarié·e·s choisiraient d’intégrer une entreprise engagée dans la transition écologique. L’occasion de faire un tour d’horizon des bonnes pratiques à adopter cette année, individuellement mais aussi à plus grande échelle, pour à terme, changer nos gestes au quotidien.

En cette fin d’année, nous vous proposons de dresser un état des lieux afin de vous présenter quelques pistes de réflexion pour commencer 2023 avec de bonnes résolutions dans vos politiques RH et marque employeur.

Depuis la crise sanitaire, le télétravail s’est énormément développé. Il permet aux employé·e·s de moins se croiser et donc de limiter la transmission du virus. C’était la première cause de sa mise en place en 2020 mais, petit à petit, candidat·e·s et entreprises l’ont adopté sur le long terme

Après plusieurs épisodes de confinement et à l’heure du tout télétravail, chacun·e a été amené·e à réfléchir sur sa conception du travail. Avec cette nouvelle réflexion viennent de nouvelles pratiques : au début 2022, plus de 6 entreprises sur 10 étaient des auto-entreprises, nous comptons en France aux alentours de 3 millions de travailleurs indépendants, soit 15% de plus qu’en 2021, et cette croissance est de plus en plus importante.